Ce qui suit ne sont que des archives.
En effet, le DroitVP n'existe plus et a été remplacé par le Siriel-Média


Les objectifs de ce site web
et découvrir ce qu'est le DroitVP...

En bref...  Le DroitVP est média alternatif et un réseau de citoyens-nes du monde
Objectifs du DroitVP ...
Petite introduction au Droit international ...
Rôle (le pourquoi) de ce réseau...
Comment participer au réseau...
Organisme non-enregistré et la «Charte du DroitVP»
Commentaire sur la conception d'un Réseau civique
Qui suis-je?  Qui est le « Webmaster » / Coordonnateur ?

Pour en savoir plus, consultez le document
Protocole du Réseau du DroitVP
(l'organisation, le «membership» et le processus démocratique)


En bref...  Le DroitVP est un réseau de citoyens-nes du monde :

   Le DroitVP se veut un réseau relativement informel de citoyens-nes du monde qui partagent l’espoir d’imposer des limites aux actions des gouvernements pour tenter de bloquer des violations massives des droits humains fondamentaux de personnes civiles (populations civiles) et des droits démocratiques des peuples. Comme moyen de promouvoir une plus grande justice pour l’Humanité, le réseau du DroitVP exige le respect des droits humains, du Droit humanitaire international (parfois nommé droit des conflits armés) et de la justice internationale (droit pénal international).

   Ce réseau a comme fonction d’augmenter la coopération entre citoyens-nes du monde et entre organisations non gouvernementales dans leur opposition aux Crimes contre l’Humanité et à l’impunité des responsables de ces crimes. Les moyens principaux utilisés par le DroitVP sont :

a) le partage d’information crédible et de qualité dans un esprit de journalisme civique et indépendant ;

b) la prise de position commune, lorsque possible sur le Forum électronique, et affichée sur le site internet du DroitVP ;

et c) la concertation dans le but de proposer des gestes non violents soit de protestation ou soit de promotion d’une justice mondiale.

Objectifs du DroitVP...

      Dit simplement, le réseau civique international pour le Droit à la Vie des populations civiles et des peuples ( DroitVP) lutte contre les violations du Droit à la Vie des gens (Génocide et autres crimes contre l'humanité telle une famine imposée; bombardement d'infrastructures civiles nécessaires pour assurer la subsistance, donc les Crimes de guerre, etc.).  Le Droit à la vie étant le droit le plus fondamental des Droits humains.*  Ce réseau d'individus et de groupes a comme fonction de contester des interventions ou des politiques qui s'attaquent à des gens innocents ou à des populations et de sensibiliser l'opinion publique mondiale à ces crises parfois ignorées ou distordues par des médias de masse.  Plus précisément, comme stratégie pour tenter de limiter les horreurs de la guerre, étant souvent incapable des les prévenir ou de les arrêter, nous voulons promouvoir l'application effective du Droit international humanitaire, c'est-à-dire les Conventions de Genève (1949/1977) qui définissent ce qu'est un Crime de guerre, la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (1948), etc.  Autrement dit, d'exiger des États le respect des Droits humains fondamentaux même en temps de crise ou d'urgence et de guerre.

* Note:  Les lettres en majuscules, comme dans Droits humains, signifient que ces concepts sont codifiés dans des conventions et des lois spécifiques; ils ne sont pas des principes vagues.

      En somme, nous refusons les politiques violentes imposées sciemment contre des peuples; celles-ci étant bien plus communes que les gens peuvent le croire et, pire encore, des gouvernements occidentaux tels que les États-Unis et la Grande Bretagne initient parfois eux-mêmes des violations graves du Droit humanitaire.  Qu'il soit clair, par exemple, que nous ne parlons pas ici de décès accidentels en temps de guerre, mais bel et bien du fait de choisir des personnes civiles et/ou des infrastructures civiles comme cibles stratégiques à détruire ou à endommager.  Même le gouvernement canadien, ayant pourtant comme discours la 'sécurité humaine' au niveau international, préfère très souvent se taire et parfois participe activement à ces actions politiques criminelles.  Pour l'Humanité, il est hautement problématique de savoir, avec certitude, que les gouvernements les plus puissants du monde qui se disent «bons, justes et démocratiques» violent consciemment les lois humanitaires destinées à protéger les innocents.  Ce sont malheureusement des choses que les gens connaissent peu.  De plus, les médias de masse nord-américains évitent d'analyser sérieusement les crimes commis par leur propre pays.

       Nous avons donc décidé qu'il était nécessaire d'informer les gens et de tenter de créer un réseau de citoyens du monde pour faire pression sur les gouvernements du monde, particulièrement sur les gouvernements occidentaux.


Petite introduction au Droit international...

     Avant d'expliquer le mandat du DroitVP, il vaut mieux commencer par une brève description du contexte actuel du droit international.  Tout d'abord, le dit droit international est en fait des ententes officielles entre États basées sur la bonne volonté de chacun de les respecter.  Autrement dit, ce droit n'est pas tout à fait comme le droit dans nos sociétés; il ne s'agit que très rarement de lois obligatoires que les États doivent respecter à tout prix.  Le meilleur exemple est le fait qu'un État, lors de tout différend, peut le plus souvent légalement refuser la 'compétence' d'une cour de justice internationale s'il veut éviter de se retrouver devant elle.  En bref, la Cour internationale de justice (CIJ)* est généralement une manière volontaire de régler des différends et non pas un système obligatoire (il existe des exceptions où un État peut avoir l'obligation juridique de reconnaître la compétence d'une cour).  En fait, les États ont des obligations internationales et il existe des lois (ex.: les conventions internationales) mais, dans la pratique, la justice internationale ne s'impose pas aux États.  En général, la justice internationale ne réprime pas les violations du droit international, mais celle-ci aide les États à négocier leurs différends en tranchant en vertu du droit international.
  
  * Ne pas confondre la CIJ avec la Cour pénale internationale (CPI)
     * Pour en savoir plus sur la CIJ, la CPI, etc., nous vous recommandons notre texte qui explique les recours juridiques existant avec un exemple réel d'un Crime de guerre.

     Alors pourquoi les États veulent respecter les traités et conventions internationaux?  Le droit international, c'est une volonté politique de normaliser les relations entre nations.  C'est une sorte d'association d'États qui offre une sécurité mutuelle: ils acceptent de jouer selon les mêmes règles de jeu pour éviter les conflits et pour simplifier les relations internationales.  De plus, il y a aussi une question de réputation internationale.  Si un État viole souvent le droit international, les autres nations (ex: les gouvernements, les investisseurs, etc.) ne voudront plus entretenir de liens diplomatiques et commerciaux, car ils n'auront plus confiance en cet État.

      Le DroitVP a débuté son existence lorsque des Québécois-es (Québec, Canada) ont pris à cœur de lutter contre le blocus criminel imposé sur toute la société civile irakienne.  Ceci nous a amené à réaliser à quel point le Droit humanitaire et le supposé système de «justice» international n'existent pas encore et ne s'appliquent qu'aux pays les moins puissants. En effet, il est flagrant que les représentants officiels et les militaires des États-Unis, par exemple, sont totalement immunisés au Droit humanitaire; ceux-ci commettent d'innombrables Crimes de guerre qu'ils jugent nécessaires pour des raisons «stratégiques» et il n'est pas possible présentement de les traduire devant une cour de justice.  Par exemple, lors du bombardement de la Guerre du Golfe, la Coalition a détruit des centres de traitement de l'eau; choses nécessaires à la vie de la population.  Il n'est pas nécessaire d'être un expert pour savoir que ce sont les innocents qui sont morts.  Comme autre exemple, prenons aussi la destruction de la station de télévision serbe lors de la Guerre du Kosovo.  Les seize (16) civils qui y travaillaient sont tous morts.  Aucun avertissement et aucune volonté de détruire la station la nuit.  Ceci était totalement volontaire.  Cela est indéniablement un Crime de guerre.  Notons que le DroitVP n'affirme pas que la guerre peut être juste si «bien faite» ou «propre», mais nous affirmons que les États occidentaux ne respectent parfois même pas le minimum de savoir-vivre et d'humanité.

     Mais pourquoi des États occidentaux commettraient des Crimes de guerre?  S'ils considèrent cela stratégique pour des raisons économiques et/ou militaires et, surtout, s'ils estiment pouvoir bien s'en tirer au niveau politique, cela peut leur sembler avantageux puisqu'ils ne pourront jamais être condamnés par la justice.  On ne peut pas parler d'un système de droit si certains puissants sont au-dessus des lois.  On ne peut pas non plus espérer les imposer aux autres si, nous-mêmes, nous les violons lorsque cela sert nos intérêts.

     Toutefois, il y a certaines limites obligatoires de base dans le Droit international nommées les « normes impératives » (Latin: Jus cogens); soient des normes pour lesquelles aucune dérogation (violation) n'est permise.  En théorie, par exemple, les États doivent régler leurs différends de manière pacifique, ils ne doivent user de méthodes terroristes, etc.  Vu les objectifs du DroitVP, il nous faut préciser que selon le droit que la communauté mondiale s'est donné, il n'y a absolument aucune justification possible pour un Crime contre l'humanité, ni politique, ni économique, ni stratégique ni quoique ce soit.  Pourtant, la réalité est complexe, il n'est pas simple d'imposer ces normes dans un système international où la «loi du plus fort» refait surface de temps à autre.  Ainsi, malgré que la création de la Cour pénale internationale (CPI) soit techniquement un pas vers l'avant, dans l'état actuel des Nations Unies, la justice internationale n'est jamais impartiale de quelconque façon.  Malheureusement, c'est trop souvent le Conseil de sécurité de l'ONU (seulement 15 pays, dont 5 grandes puissances qui un pouvoir démesuré en terme de vote car ces derniers ont un droit de veto) qui identifient les menaces à la paix et à la sécurité internationales ainsi que les crimes contre l'humanité, alors que pourtant les membres permanents du Conseil (Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie) sont les plus grands fournisseurs d'armes au monde!  Les membres permanents du Conseil peuvent souvent éviter la justice internationale et décident selon leurs intérêts politiques du moment.

Rôle de ce réseau...

     Le DroitVP est un réseau d'individus et de groupes désireux de coopérer ensemble vis-à-vis diverses campagnes de citoyens-nes (non-gouv.) contre des politiques meurtrières et voulant promouvoir le respect obligatoire du Droit humanitaire.  Idéalement, tout en voulant la souveraineté des démocraties et des cultures, il est certain que nous aimerions que le Droit humanitaire soit réellement considéré un code de droit criminel obligatoire, c'est-à-dire qu'il soit possible de condamner ceux ou celles coupables de Crimes de guerre, etc.  Malgré que cela ne soit pas la réalité actuellement, nous croyons qu'à travers l'opinion publique mondiale, qu'il est possible de faire pression sur les États.  En effet, ils ont une réputation à protéger.  Notre priorité est d'influencer surtout les gouvernements occidentaux, car ceux-ci sont les plus immunisés à la justice internationale.

Comment?

I) Ressource alternative d'information :
     En offrant de l'information de qualité sur diverses crises où les droits des peuples et populations civiles sont violés ;

II) Contestation démocratique (militantisme) :
     Par contestation, nous entendons la participation active et non-violente de citoyens-nes au sein de leur société dans le but d'exiger, entre autres et au minimum, le respect du Droit international humanitaire.

Pourquoi ce regroupement?

     Somme toute, le DroitVP existe car le besoin se fait sentir de combler un vide terrible dans nos soi-disant démocraties et notre système international; un vide dans lequel nos laissons nos élus faire n'importe quoi au niveau « intervention militaire international ».  Au-delà du droit applicable même lors des conflits armés, il s'agit d'exiger de nos gouvernements le respect des Droits humains fondamentaux des peuples.  Nous espérons encourager les citoyens-nes du monde à s'approprier le Droit humanitaire de manière à obliger les États à respecter le Droit à la vie des peuples, par exemple, en se rétractant de toute politique ou intervention ayant des effets génocidaires.  Nous connaissons peu de groupes de citoyen-ennes qui militent clairement pour que nos élus respectent les droits des peuples et le Droit international humanitaire (la plupart militent pour les Droits humains individuels).  C'est pourquoi le DroitVP nous semble pertinent et nécessaire. 

     Amnistie Internationale, par exemple, se concentre sur les libertés civiques et politiques et évite de contester des politiques en tant que telles et encore moins quand celles-ci sont issues du Conseil de sécurité (ex.: jusqu'à l'année 2000-2001, AI ne voulait pas se prononcer sur les sanctions économiques contre l'Irak).  Le DroitVP est un supporteur de AI et n'est aucunement en compétition, mais notre réseau joue un rôle complémentaire en critiquant ouvertement certaines politiques jugées, par exemple, contraires aux principes du Droit humanitaire.

     À l'instar des Nations-Unies, la Croix-Rouge internationale préfère adopter une approche qu'elle nomme « discrète », c'est-à-dire de contacter discrètement les gouvernements plutôt que de faire des pressions publiquement, par exemple, en évitant de nommer les présumés coupables.  La Croix-Rouge internationale explique sur son site web pourquoi cette approche est fort légitime car, en effet, leur but premier est de pouvoir librement aider les victimes concrètement sur le terrain (i.e. la Croix-Rouge ne veut pas être détestée par les governements).  À nouveau, le but du DroitVP est alors de critiquer publiquement et de nommer explicitement les États coupables de violations ainsi que les États complices.

     Nous avons la ferme conviction que nous, les citoyen-ennes de toutes les nations du monde, avons le devoir d'imposer des limites à nos gouvernements si nous ne voulons pas être les prochaines personnes à soudainement devenir des cibles « stratégiques » dans une guerre où tous les moyens sont bons pour écraser l'adversaire.


Comment participer au réseau...

Il y a essentiellement deux niveaux de participation :

Souscription au Bulletin du DroitVP (mises à jour du site, etc.) :
     Il suffit alors d'être un être humain intéressé à en savoir plus.  
La liste des personnes et organisations abonnées au Bulletin du DroitVP est confidentielle et n'engage en rien celles-ci.

• Membre actif / active :
     Les citoyennes/citoyens du monde et les groupes qui exigent explicitement et activement le respect des droits des peuples, dont la protection des populations civiles en temps de conflit (Droit humanitaire international), et des Droits humains (ex: Droit à la vie).  Pour vous joindre à ce réseau en tant qu'individu ou tout simplement pour nous supporter*, 'abonnez-vous au Forum du réseau DroitVP' ou écrivez-nous: [ nil ]

* Les groupes sympathisants sont totalement indépendants.  Les membres de groupes et d'organisations sont évidemment invités à influencer le DroitVP en se joignant au Forum...

     Pour en savoir plus sur la participation au réseau (le Forum du DroitVP) et sur notre structure, lire notre Protocole.

Organisme non-enregistré ?

     Pour le moment, vu que le DroitVP est constitué d'individus et de groupes autonomes à travers le monde, nous ne sentons pas le besoin de nous enregistrer comme ONG.  

     Toutefois, même en l'absence de charte complète (elle est en rédaction et en discussion sur le Forum), en tant que coordonnateur de ce réseau, voici deux de mes obligations (le document DroitVP_Protocole explicite davantage):

Moi, Michaël Lessard, je m'engage personnellement
i) à m'assurer que les informations contenues sur le site web du DroitVP soient de qualité.  Par exemple, m'assurer que les sources-références sont réelles;
ii) que toute donation au DroitVP soit utilisée uniquement pour défrayer les coûts matériels des activités du DroitVP et ne sera pas utilisée à des fins de salaire pour quiconque.

___ La Charte du DroitVP  

     En fait, au lieu d'une Charte, pour le moment nous avons

Le Protocole du Réseau du DroitVP
(l'organisation, le «membership» et le processus démocratique)
Mis à jour le 14 juin, 2002.

     Il s'agit d'une partie de notre Charte.  S'il vous plaît lire ce document si vous désirez participer au Forum du DroitVP.


___ Commentaire sur la conception d'un Réseau civique

     Le texte qui précède constitue la base de nos objectifs et mandats, mais il importe surtout de préciser que le DroitVP se veut un

i) réseau :  les « membres » sont indépendants (mais ils peuvent créer un groupe du DroitVP en tant que tel; voir le document ci-dessous)

ii) réseau civique :  donc de citoyens/citoyennes du monde

      Le Forum du DroitVP est constitué d'individus, mais nous encouragons les associations, groupes civiques et organisations a avoir autant d'individus inscrits sur le Forum qu'ils le veulent.  Lorsque le DroitVP a une campagne de sensibilisation à mener, les individus du Forum tentent alors de rallier le support officiel de divers groupes et associations du monde (lire: leur support pour une cause ou pour une position, et non au DroitVP en soi).

iii) réseau civique international :  un mouvement civique mondial (le «réseautage» se faisant par l'internet).

    Le réseau du DroitVP ne se veut pas « corporatiste » ni sectaire, c'est-à-dire que notre réseau n'entretient aucune compétition avec d'autres réseaux et vise plutôt, justement, à accroître la coopération entre associations civiques (la coopération étant souvent défaillante ou rare). 

- Michaël Lessard, coordonnateur pour 2001-2002.


Qui suis-je?  Qui est le « Webmaster » / Coordonnateur ?

     Bonjour, mon nom est Michaël Lessard.  Je suis un citoyen canadien-québécois.  J'ai initié le Mouvement pour le Droit à la Vie de la population civile irakienne (DroitVPI).  Puis, en créant ce site internet, nous avons élargi le concept au DroitVP, c'est-à-dire à d'autres victimes de politiques criminelles.  En somme, je suis celui qui maintient ce site et je suis le modérateur/coordonnateur du Forum du DroitVP.

     Je suis Conseiller en orientation (Maîtrise universitaire:  une formation essentiellement de «psychothérapeute vocationnel»).  Évidemment, je suis aussi un activiste pour les Droits Humains.  Par ailleurs, j'étudie présentement pour la Maîtrise en Relations internationales (concentration en Développement international) pour être mieux équipé pour ces causes de l'humanité qui me touchent profondément.  Je m'oriente donc vers l'analyse et l'intervention internationale; le but étant d'influencer nos politiques égocentriques où les profits des uns se fait au détriment excessif des autres.  Autrement dit, je veux promouvoir la coopération internationale et le Droit humanitaire international.


Mais que puis-je faire ?

      Le fait que les gouvernements mettent autant d'effort pour manipuler l'opinion publique prouve que nous avons un impact bien réel sur eux.  Les discours défaitistes et d'impuissance de plusieurs citoyen-ne-s sont, selon moi, une manière bien pratique de ne pas se sentir concerné et de ne pas agir.  Il me semble pourtant que les seules personnes pouvant imposer les lois internationales et les Droits de la personne aux gouvernements, ce sont les citoyen-ne-s eux-mêmes.  Au-delà de la souveraineté des États, ce dont nous avons besoin, c'est de souveraineté démocratique et de véritable coopération entre les peuples.  
  
- Michaël Lessard

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